Humo et mortierbrigade hackent à tire-larigot
Bruxelles, 3 février 2019 – Clickbaits, phishing, fake news… ce sont des techniques de manipulation bien connues qu’Humo et mortierbrigade se sont rendus coupables d’utiliser dans leur nouvelle campagne. En donnant aux internautes un avant-goût des dangers qui les guettent sur le web, l’hebdomadaire souhaite présenter son abonnement 100% numérique entièrement renouvelé comme l’alternative parfaite.
Parce qu’avec le tout premier guide TV interactif au monde, un journalisme d’investigation approfondi, des tuyaux et commentaires qui vont toujours droit au but ainsi bien sûr qu’une bonne dose d’humour, avec Humo Digital, vous avez la certitude d’être au bon endroit en ligne. Vous ne devez dès lors pas vous plonger dans les méandres obscurs d’internet pour avoir votre shot d’actualité ou dose de fours rires, avec toutes les conséquences qui s’ensuivent…
Jens Mortier, Partner & CEO chez mortierbrigade : « Humo traite l’information sous un angle résolument différent. Cette campagne reflète parfaitement le style du magazine tout en abordant une thématique bien actuelle : la croissance exponentielle des dangers numériques qui nous guettent sur le web. Avec cette campagne, nous montrons qu’il y a un endroit où l’on peut y échapper. Et cet endroit, c’est Humo, votre île pour vous protéger des e-scrocs du web. Et désormais également disponible sous la forme d’un abonnement 100% digital. »
Sur le web, le chantage est le maître mot ! Des banners retargettés menaceront de publier des photos gênantes si l’internaute ne paye pas 5€ (le prix mensuel de l’abonnement à Humo digital). Ce n’est qu’alors que les banners cesseront de vous suivre… ou vous le feront croire. Au niveau du contenu social, des images ‘privées’ de ceux qui n’auront pas répondu au chantage seront rendues publiques. Et des direct e-mailings feront croire à ceux qui les reçoivent qu’ils ont véritablement été hackés. La campagne comporte également un spot TV et de la radio à visionner et écouter ci-dessous. Enfin, des publireportages permettant aux lecteurs de vérifier s’ils savent distinguer le vrai du faux ont également été développés.