mortierbrigade lève le pouce pour ING.

Bruxelles, 19 avril 2022 – Il suffit que quelque chose soit acquis pour que l’on perdre toute l’admiration et la reconnaissance que l’on a pour elle. C’est exactement ce qu’il se passe avec le pouce. Voilà pourquoi mortierbrigade et ING ont voulu rappeler la puissance de ce doigt si important. Et qui, depuis l’essor du smartphone a pris encore plus d’importance. Et donc, pour ING et leur application bancaire aussi. Grâce à votre pouce, vous pouvez acheter une maison ou cacher votre solde des regards indiscrets. ​

Le pouce est indispensable. En tant que lecteur, c’est avec votre pouce que vous pouvez faire défiler ce communiqué de presse par exemple. L’époque où l’on se servait principalement de son pouce pour faire du stop ou pour indiquer que tout allait bien est loin derrière nous. Aujourd'hui, le pouce nous donne accès à tout un tas d'expériences, de services et de produits. Exactement ce dont vous profitez avec l'app ING Banking.

La campagne de mortierbrigade se concentre donc sur le pouce. Et surtout, son interaction avec l'app ING Banking. Dans les socials, le spot tv, les OOH et la presse nous avons une subjective depuis le smartphone, ce qui permet d’avoir un aperçu de ce que peuvent vivre les clients ING.

« Avec notre hommage au pouce, nous avons une vraie histoire inclusive. Chaque pouce, qu’il soit jeune ou vieux, décoré au henné, grâce au nail art ou tatoué, ouvre un monde de possibilités grâce à l’app ING Banking. Le concept nous permet également d’expliquer les différentes fonctionnalités de notre application de manière simple et attrayante, comme demander un prêt, vérifier le code PIN de sa carte de débit, annuler des abonnements, gagner des tickets, partager des notes de restaurant, etc. Tout cela en un seul mouvement de doigt. La traduction de ces messages dans cette campagne rafraîchissante a été plutôt bien réussie » - Nathalie Ducène – Head of Advertising chez ING Belgique. ​ 

La campagne a été réalisée en collaboration avec CZAR et le réalisateur Floris Kingma. Les visuels sont à mettre au crédit de Stig De Block.